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18 décembre 2000 1 18 /12 /décembre /2000 14:21

 

Trolles - Trollius (genre)


Le genre Trollius (Trolles) regroupe des plantes angiospermes dicotylédones appartenant à la sous classe des Magnoliidae ou des Ranunculidae suivant les classifications, au super ordre des Ranunculanae, à l'ordre des Ranunculales, à la famille des renonculacées (Ranunculaceae), à la sous famille des Trollioideae, et à la tribu des Trollieae.

Les trolles sont des plantes vivaces originaires des régions tempérées de l'hémisphère nord (Europe, Asie, Amérique du Nord). Les trolles font partie des angiospermes les plus primitives, du moins elles sont considérées ainsi.

Les feuilles, le plus souvent palmées ou profondément palmatilobées ne possèdent pas de stipule. Les trolles présentent généralement des fleurs jaunes, actinomorphes, terminales, solitaires ou en petites cymes, globuleuses, sans bractées.

Le périanthe est composé de deux verticilles. Les sépales, pétaloïdes, sont au nombre de 5 à 15. La corolle est composée de 5 à 15 pétales. Présence de nectaires. Les étamines et les carpelles sont nombreux. Le fruit est un follicule.

Vous trouverez ci dessous une liste non exhaustive des noms latins du genre Trollius. Attention, cette liste comporte de nombreux synonymes.


Trollius acaulis
Trollius aconitifolius
Trollius africanus
Trollius akiyamae
Trollius albiflorus
Trollius aldanensis
Trollius altaicus
Trollius altissimus
Trollius americanus
Trollius anemonifolius
Trollius apertus
Trollius asiaticus
Trollius aureus
Trollius bargusinensis
Trollius bhotanicus
Trollius boreosibiricus
Trollius buddae
Trollius caucasicus
Trollius chartosepalus
Trollius chinensis
Trollius citrinus
Trollius connivens
Trollius cultorum
Trollius dahuricus
Trollius decapetalus
Trollius deylii
Trollius dschungaricus
Trollius emarginatus
Trollius europaeus
Trollius farreri
Trollius gammieanus
Trollius geranifolius
Trollius germanicus
Trollius giganteus
Trollius globosus
Trollius grandiflorus
Trollius hondoensis
Trollius humilis
Trollius ilmenensis
Trollius ircuticus
Trollius japonicus
Trollius kansuensis
Trollius kurilensis
Trollius kytmanovii
Trollius laxus
Trollius ledebourii
Trollius lilacinus
Trollius loddigesii
Trollius macropetalus
Trollius medius
Trollius membranostylis
Trollius micranthus
Trollius minimus
Trollius miyabei
Trollius montanus
Trollius napellifolius
Trollius nishidae
Trollius ochotensis
Trollius papaverus
Trollius parviflorus
Trollius patulus
Trollius pentapetalus
Trollius pulcher
Trollius pumilus
Trollius ranunculinus
Trollius ranunculoides
Trollius riederianus
Trollius rotundiflorus
Trollius sajanensis
Trollius saniculaefolius
Trollius schipczinskii
Trollius sertiflorus
Trollius sibiricus
Trollius sikkimensis
Trollius somcheticus
Trollius sphaericus
Trollius stenopetalus
Trollius taihasenzaniensis
Trollius tanguticus
Trollius tatrae
Trollius tauricus
Trollius tehkehensis
Trollius transsilvanicus
Trollius uncinatus
Trollius uniflorus
Trollius vaginatus
Trollius vicarius
Trollius viridiflorus
Trollius viridis
Trollius vitalii
Trollius yunnanensis


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18 décembre 2000 1 18 /12 /décembre /2000 09:17

 

Lysimaque ponctuée - Lysimachia punctata



La lysimaque ponctuée (Lysimachia punctata) est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à la sous classe des Dilleniidae, à l'ordre des Primulales, à
la famille des primulacées (Primulaceae) et au genre lysimaque (Lysimachia). Dans la classification phylogénétique le genre Lysimachia est rattaché à l'ordre des éricales (Ericales) et à la famille des myrsinacées (Myrsinaceae).

Cet article a été transféré sur le forum de Faaxaal

 

 

 

 

 


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17 décembre 2000 7 17 /12 /décembre /2000 13:46

 

Bolet Satan - Boletus satanas


Photo Bolet Satan - Boletus satanas Le bolet satan (Boletus satanas Syn. Tubiporus satanas, Boletus foetidus) est un champignon appartenant à la classe des Agaricomycetes, à la sous classe des Agaricomycetideae, à l'ordre des Boletales, à la famille des Bolétacées (Boletaceae) et au genre Boletus.

Le bolet Satan est originaire d'Europe du sud, jusqu'en Turquie et peut-être au delà. Une espèce semblable, longtemps considérée comme Boletus satanas existe en Amérique du nord. Cette espèce américaine s'appelle maintenant Boletus pulcherrimus (Syn. Boletus eastwoodiae).

Le bolet Satan est un champignon calcicole (qui apprécie les sols calcaires) et thermophile (qui apprécie la chaleur), généralement solitaire. Le bolet Satan pousse en été et en automne, parfois à la fin du printemps, dans les forêts claires décidues (y compris bord de chemins, clairières, lisières et près-bois) de hêtres, de chênes de châtaigniers ou de charmes. C'est un champignon relativement rare.

Le bolet Satan est un gros champignon dont le chapeau peut atteindre 30 centimètres de diamètre chez les sujets adultes tandis que le pied (stipe) peut atteindre 15 centimètres. Le chapeau est hémisphérique à l'état jeune puis étalé convexe en vieillissant, voire bosselé. La cuticule est blanchâtre (gris pâle), sans trace rougeâtre, légèrement tomenteuse puis glabre. La marge est épaisse et lisse.

Le dessous du chapeau présente des tubes fins, courts, mesurant environ 3 à 5 millimètres, serrés, à pores jaunâtre, rouge vif, orangé, ou verdâtre suivant l'âge. Lorsqu'on meurtrit les tubes, ils bleuissent, mais moins que d'autres espèces.

Le pied (stipe) du bolet Satan, jaune à rougeâtre, fortement réticulé de rouge, mesurant jusqu'à 15 centimètres de haut pour 10 à 12 centimètres dans sa plus grande largeur, sans anneau ni bogue, possède une forme trapue, renflée au milieu, atténuée aux extrémités. Chez les sujets jeunes le pied est souvent plus large que haut. A la cassure le pied du bolet Satan bleuit peu.

La chair, blanchâtre à jaunâtre, bleuit à la coupe. La sporée est vert olivâtre. Le bolet Satan, comme la plupart des bolets, est souvent véreux.

Le bolet Satan présente une odeur désagréable qui n'invite pas à le cueillir, surtout si le sujet est un peu âgé. Et d'ailleurs c'est mieux ainsi car il vaut mieux ne pas consommer ce champignon. En effet son ingestion provoque, chez la plupart des personnes, des nausées, des douleurs intestinales, de la diarrhée, des troubles nerveux et de forts vomissements, surtout à l'état cru. D'aucuns affirment que les effets sont moindres après une bonne cuisson. Bien évidemment les effets sont variables suivant la sensibilité des individus. Certains ouvrages présentent le bolet Satan comme un champignon mortel, mais cela semble exagéré. Toxique me semble plus approprié. Quoi qu'il en soit, je vous invite à ne pas consommer le bolet Satan.

Le bolet Satan peut être confondu avec certains champignons ressemblants, en notamment :
Boletus calopus : le bolet à beau pied,
Boletus erythropus : le bolet à pied rouge,
Boletus legaliae : le bolet de Le Gal,
Boletus luridus : le bolet blafard,
Boletus rhodoxanthus : le bolet rouge et jaune,
Boletus torosus : le bolet massif.

En allemand le bolet Satan s'appelle : Satans röhrling, blutschwamm, teufelspilz, ou Satanspilz, en anglais : Devil's bolete ou Satan's mushroom, en croate : ludara, en espagnol : boleto de satanás, en finlandais : piruntatti, en italien : boleto satana, brisa matta, satanasso, terun, lardaru ou porcino malefico, en néerlandais : satansboleet et en polonais : borowik szatański.
 
 
Kriss de Niort
 
 
Crédit :
Auteur : Albin Schmalfuß,

La gravure est dans le domaine public car son copyright a expiré.
 
 
Voir aussi :
 le coprin micacé | le coprin chevelu | le coprin pie | le phallus impudicus | l'Anthurus d'Archer | Le scléroderme vulgaire | Le polypore soufré | l'amanite tue mouches | l'oreille de Judas | le gyromitre | le satyre du chien | la trémelle mésentérique | Tricholome équestre | Morillon | Clathre grillagé | Aseroë rubra | Clathre à colonnes | Marasme des Oréades | Parasol plissé | Pied bleu | Clavaire dorée | Clitocybe nébuleux | Oronge | Girolle | Trompette des morts |

 

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17 décembre 2000 7 17 /12 /décembre /2000 08:42

 

Gunnère du Brésil - Rhubarbe géante

Gunnera Manicata



Le gunnère du Brésil (Gunnera Manicata), appelé également rhubarbe géante est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à la sous classe des Rosidae, à l'ordre des Haloragales...

 

 

 

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17 décembre 2000 7 17 /12 /décembre /2000 06:55

 

Gunnera (genre)


Le genre Gunnera regroupe des plantes angiospermes dicotylédones appartenant à la sous classe des Rosidae, à l'ordre des Haloragales et à la famille des gunnéracées (Gunneraceae). Dans la classification phylogénétique le Gunnera dépend de l'ordre des Gunnerales

Le genre gunnera est dédié à Johan Ernst Gunner (1718-1773), botaniste norvégien qui a été le premier à décrire le requin pèlerin sous le nom de Squalus maximius. Johan Ernst Gunner est également le premier botaniste à étudier la flore de Norvège. On lui doit également la première explication des aurores polaires.

Les espèces appartenant au genre Gunnera poussent dans les zones tempérées et sub-tropicales de l'hémisphère sud. Le genre Gunnera est essentiellement présent en Amérique du Sud (Argentine, Brésil, Chili, Bolivie...), mais également en Afrique (Ethiopie, Kenya, Madagascar...), en Papouasie Nouvelle Guinée et aux Philippines.

Certains auteurs annoncent que le genre Gunnera regroupe 45 espèces, mais je pense qu'il y en a près du double. Vous trouverez ci dessous une liste non exhaustive, contenant vraisemblablement plusieurs synonymes non identifiés :

Gunnera aequatoriensis
Gunnera albocarpa
Gunnera annae
Gunnera antioquensis
Gunnera apiculata
Gunnera arenaria
Gunnera atropurpurea
Gunnera bogotana
Gunnera bolivari
Gunnera boliviana
Gunnera brasiliensis
Gunnera bracteata
Gunnera caucana
Gunnera colombiana
Gunnera cordifolia
Gunnera cuatrecasii
Gunnera densiflora
Gunnera dentata
Gunnera diazii
Gunnera ecuadoriana
Gunnera falklandica
Gunnera flavida
Gunnera garciae-barrigae
Gunnera hamiltonii
Gunnera hernandezii
Gunnera herteri
Gunnera insignis
Gunnera intermedia
Gunnera kaalaensis
Gunnera kauaiensis
Gunnera killipiana
Gunnera laxiflora
Gunnera lobata
Gunnera lozanii
Gunnera macrophylla
Gunnera magellanica
Gunnera magnifica
Gunnera manicata
Gunnera margaretae
Gunnera masafuerae
Gunnera mexicana
Gunnera monoica
Gunnera peltata
Gunnera perpensa
Gunnera peruviana
Gunnera petaloidea
Gunnera pilosa
Gunnera pittierana
Gunnera prorepens
Gunnera pyramidalis
Gunnera quitoensis
Gunnera reichei
Gunnera rheifolia
Gunnera saint-johnii
Gunnera sanctae-marthae
Gunnera scabra
Gunnera schindleri
Gunnera schultesii
Gunnera silvioana
Gunnera steyermarkii
Gunnera tacueyana
Gunnera tajumbina
Gunnera talamanca
Gunnera tamanensis
Gunnera tayrona
Gunnera tinctoria (Syn.: Gunnera chilensis, Panke tinctoria)
Gunnera venezolana
Gunnera vestita.


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17 décembre 2000 7 17 /12 /décembre /2000 05:07

 

Gunneraceae – Gunnéracées


La famille des Gunnéracées (Gunneraceae) est une famille de plantes angiospermes dicotylédones appartenant à la sous classe des Rosidae et à l'ordre des Haloragales. Dans la classification phylogénétique les Gunnéracées dépendent de l'ordre des Gunnerales.

La famille des Gunnéracées ne comprend qu'un seul genre :
Gunnera. On inclut parfois les Myrothamnaceae dans la famille des Gunnéracées.

Les Gunnéracées sont des plantes herbacées, non succulentes, vivaces, rhizomateuses ou stolonifères, à rosette basale, qui possèdent parfois de très grandes feuilles (Gunnera manicata), longuement pétiolées. Les feuilles sont ligulées ou stipulées. Le limbe est souvent ovale à obovale, plus ou moins palmatifide avec une base cordée ou cunéiforme.

Les fleurs sont réunies dans une inflorescence terminale ou axillaire, en épi, en grappe ou en panicule. Les fleurs sont monoïques ou dioïques, parfois hermaphrodites. La corolle est parfois absente chez les fleurs femelles.

L'androcée est composé exclusivement d'étamines fertiles. Le fruit est souvent une drupe. L'ovaire est infère et bicarpellé.



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16 décembre 2000 6 16 /12 /décembre /2000 20:28

 

Géranium à grosses racines - Geranium macrorrhizum



Le géranium à grosses racines (Geranium macrorrhizum) est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à la sous classe des Rosidae, à l'ordre des Geraniales, à la famille des géraniacées (Geraniaceae), au genre Geranium et au sous genre Robertium (section: Unguiculata).

 

 

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15 décembre 2000 5 15 /12 /décembre /2000 14:51

Vidéo d'un nautile en aquarium

 




Pour en savoir plus sur les nautiles vous pouvez consulter cet article :
Nautilus pompilius

Si vous connaissez d'autres vidéos intéressantes sur la faune et la flore, merci de me les signaler





Voir aussi :

Acariens | Animaux dangereux | Animaux du monde (les plus beaux) | Avenir du Tigre | Buffle vs lion vs crocodile | Cactus (fleurs de) | Camélias du Japon | C'est pas beau l'amour ? | Chenilles processionnaires | Cigale | Dauphins | Dragon de Komodo  | Euthanasie Macaques de Tonkéan | Furet | Girafe | Huppe fascièe | Lapin vs Serpent | Lion vs Hyènes | Loup (vie du) | Odonates (libellules) | Ornithorynque | Plantes carnivores | Raie Manta | Serpent avalant un œuf | Tigre de Tasmanie | Vidéo de l'horreur | Paon bleu | Suricate | Loutre de rivière | Vidéo de l'aquarium des lagons, Nouméa, Nouvelle-Calédonie | Vidéo d'un pélican qui mange un pigeon |



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15 décembre 2000 5 15 /12 /décembre /2000 12:30

 

Le guide herpéto



Le guide herpéto est un guide de près de 300 pages édité aux éditions Delachaux et Niestlé dans la collection "Les guides du naturaliste", qui décrit 199 amphibiens et reptiles d'Europe.

L'édition originale s'intitule "A field guide to the reptiles and amphibians of Britain and Europe", qui a été rédigé par Nicholas Arnold et Denys Ovenden en 1978 et réédité en 2002. La traduction de l'édition française a été effectuée par Samuel Danflous et la relecture scientifique a été réalisée par Philippe Geniez.

Le guide herpéto propose un panorama complet des espèces de reptiles et d'amphibiens vivant en Europe. Cet ouvrage nous propose dans un premier paragraphe d'apprendre à utiliser ce guide. L deuxième paragraphe nous explique comment lire la description de chaque monographie d'espèces (nom, répartition, identification, confusions, habitats, mœurs, venin…).

Dans une longue introduction l'ouvrage nous présente la biologie des reptiles et des amphibiens au travers des espèces, de leurs variations intra spécifiques, de leur alimentation, des niches écologiques qu'ils occupent, de leur période d'activité, de leur reproduction, de leur chant, de leurs ennemis naturels et des moyens de défense qu'ils mettent en œuvre, et enfin de leurs mues. L'introduction se poursuit par un paragraphe traitant des relations entre les reptiles, les amphibiens et l'homme, l'observation des reptiles et amphibiens, la récolte de données et la manipulation des reptiles et amphibiens.


L'ouvrage traite successivement des :
• Salamandres et tritons (salamandres vraies, tritons, salamandres cavernicoles, protée),
• Grenouilles et crapauds (sonneurs, discoglosses, alytes, pélobates, pélodytes, crapauds vrais, rainettes, grenouilles vraies brunes et vertes),
• Tortues (tortues terrestres, tortues semi aquatiques, tortues marines),
• Lézards (agames, caméléons, geckos, lézards lacertidés, lézards verts, petits lacertidés, scinques, orvets et sheltopuzik, et enfin amphisbènes),
• Serpents (typhlops, boas des sables, couleuvres et vipères).
 

Au centre de l'ouvrage se trouvent 49 planches en couleur représentant les espèces décrites. Les reproductions sont très fines et les couleurs précises.

Un paragraphe est consacré à l'identification des œufs d'amphibiens, un autre paragraphe traites de l'identification des larves d'amphibiens (urodèles et anoures) et enfin, un dernier paragraphe nous dévoile la morphologie interne de ces animaux.

L'ouvrage se termine par un lexique et des cartes de répartition des espèces décrites. Si on a un doute sur une identification il suffit de se reporter à la carte pour vérifier si l'espèce est présente à l'endroit où on l'a observée.


En conclusion

Le guide herpéto est un guide sans surprise, facile à utiliser. Les 250 schémas qui accompagnent les descriptions sont fort bien réalisés. Les descriptions sont claires, précises, suffisantes. Le guide herpéto est un ouvrage de référence pour tout erpétologiste amateur.





Kriss de niort, le 15/12/2007


 

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14 décembre 2000 4 14 /12 /décembre /2000 18:58

 

Cèdre à encens - Calocèdre - Calocedrus decurrens



Le cèdre à encens (Calocedrus decurrens), appelé également calocèdre, libocèdre ou cèdre blanc de Californie, est un arbre gymnosperme appartenant à la classe des Pinopsida, à l'ordre des Pinales, à la famille des Cupressacées (Cupressaceae) et au genre Calocedrus.

 

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